Tout ce qui réunit Maggie Smith, Kathy Bates et Laura Linney pour un film intelligent et engageant qui vous remontera le moral ces jours-ci est un miracle en soi. En effet, Le club des miracles est une raison de célébrer cet été, ne serait-ce que pour avoir la chance de voir un casting exceptionnel et bien-aimé obtenir des rôles dignes de leurs nombreux talents.
Le film est une idée originale du co-scénariste Jimmy Smallhorne et basé sur ses souvenirs de sa famille et de son enfance dans une petite ville irlandaise, mais l’accent est clairement mis sur les femmes de cette famille. Pendant des années, il a essayé de porter cela à l’écran, et finalement, une fois que le réalisateur Thaddeus O’Sullivan s’est impliqué, c’était en route. O’Sullivan a amené ses deux autres écrivains, Joshua Maurer et Timothy Prager, à le développer davantage, et pendant tout ce temps, l’actrice oscarisée Bates était attachée. Même avec les retards de Covid menaçant de ne jamais permettre à cette histoire légère mais engageante de voir la lumière d’un écran, elle a été faite, et maintenant, coincée entre les sorties de mâts de tente d’été comme Indiana Jones, Mission : Impossible – Dead Reckoning, première partie et le prochain Barbie et Oppenheimer, Sony Pictures Classics réserve un régal au public adulte plus âgé qui avait fui le multiplex pendant la pandémie. Espérons que celui-ci puisse aider à les ramener. Certes, son pouvoir vedette a la capacité de faire exactement cela.
Au niveau de l’histoire, Le club des miracles se déroule en 1967 dans la petite communauté irlandaise de Ballygar, juste à l’extérieur de Dublin. C’est le genre de ville que ses habitants ont vécue toute leur vie, et nous rencontrons certains d’entre eux qui rêvent simplement de gagner un concours de talents à l’église locale, où le premier prix est un voyage à Lourdes, la tristement célèbre ville française. ville où les miracles se produisent – ou alors ils espèrent et prient. Chacune des femmes a cependant un côté obscur, celui qu’elles espèrent qu’un miracle pourra guérir.
Lily (Smith) mène une vie tranquille avec son mari, mais elle a clairement été secouée par une culpabilité qui remonte à la surface de temps en temps et qui le sera encore. Eileen (Bates) est une épouse et une mère dynamique confrontée au plus grand test de sa vie avec un diagnostic de cancer. À l’autre extrémité de l’échelle d’âge se trouve une jeune mère, Dolly (la nouvelle venue Agnes O’Casey), qui, avec son mari, relève le défi d’élever leur enfant muet de 6 ans. Bien qu’ils fassent une version rock du hit des Chiffons des années 1960 « He’s So Fine », tout n’est pas si beau, y compris leur deuxième place. Cependant, comme le destin l’a voulu, le vainqueur les bénit en leur donnant ce voyage à Lourdes.
Des complications surgissent avec l’arrivée de Chrissie (Linney), une femme avec un peu de mystère dans son passé car elle a quitté cette ville quelque 40 ans plus tôt pour une vie aux États-Unis. Séparée de sa mère mais revenant maintenant pour ses funérailles, elle découvre bientôt qu’elle est la seule à y assister car Lily et Eileen susmentionnées, toutes deux autrefois proches de sa mère, ont leurs propres raisons de rester à l’écart. Les éléments les plus savonneux du scénario s’imposent au fur et à mesure que des révélations et des secrets sont révélés, le passé lointain de ces personnages est mis au point et les quatre femmes (dont une Chrissie réticente) partent pour Lourdes à la recherche d’un renouveau. Ils devraient tenir compte des paroles du prêtre local, le père Demott (Mark O’Halloran), selon lesquelles vous ne vous rendez pas au lieu spirituel de Sainte Bernadette pour un véritable miracle, mais plutôt pour trouver la force de continuer face à l’adversité dans un monde où il y a Non remèdes miracles.
C’est un joli petit film, un peu trop bourré de tragédies mais néanmoins celui qui nous assure une connexion humaine pourrait être le plus grand miracle de tous. D’une manière ou d’une autre, toutes ces femmes trouvent que c’est le cas. Comme vous vous en doutez, Smith, Bates et Linney sont superbes. O’Casey est une vraie charmeuse dans ses débuts au cinéma, et même les hommes, bien qu’en retrait, sont les bienvenus dans leurs brèves apparitions. O’Halloran est particulièrement bien, et Stephen Rea, Mark McKenna et Nial Buggy sont également bien choisis. Les lieux sont des vacances d’été en eux-mêmes, tout comme ce petit bijou de cadeau à un public plus âgé qu’Hollywood oublie trop souvent, surtout à cette période de l’année.
Titre: Le club des miracles
Distributeur: Sony Pictures Classiques
Date de sortie: 14 juillet 2023
Directeur: Thaddeus O’Sullivan
Scénario: Joshua Maurer, Timothy Prager, Jimmy Smallhorne
Jeter: Kathy Bates, Maggie Smith, Laura Linney, Agnes O’Casey, Stephen Rea, Mark O’Halloran, Mark McKenna, Nial Buggy
Notation: PG-13
Durée de fonctionnement : 1h31
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