Qui a dit que les bagues de fiançailles ne servaient qu’à une seule occasion ? Emily Ratajkowski, l’actrice et mannequin américaine bien connue, en a une autre idée. Elle a récemment transformé sa bague de fiançailles en deux « bagues de divorce » pour marquer la fin de son mariage. Une nouvelle tendance est-elle en train de se dessiner ? Découvrons-le ensemble.
Réinventer l’usage d’une bague de fiançailles
Emily Ratajkowski a toujours su se distinguer par son audace et sa créativité. Elle a récemment marqué les esprits en redéfinissant l’usage traditionnel de la bague de fiançailles. Loin de la ranger dans un tiroir ou de la revendre, l’actrice a choisi de la transformer en deux « bagues de divorce ».
Ce geste symbolique marque la fin de son mariage, tout en conservant une part de l’histoire d’amour qu’elle a vécue. Une manière pour elle de faire face à cette nouvelle étape de sa vie tout en gardant un souvenir tangible de son passé.
Une tendance en devenir ?
Si cette initiative est avant tout personnelle, elle pourrait bien inspirer d’autres personnes traversant une séparation. En effet, transformer une bague de fiançailles en « bagues de divorce » pourrait permettre de donner un nouveau sens à cet objet chargé d’émotion.
Il n’est pas rare que les bijoux de mariage soient revendus ou refondus après une séparation. Mais l’idée d’en faire des « bagues de divorce » apporte une nouvelle perspective, plus positive et symbolique. Il s’agit de tourner la page, sans pour autant effacer totalement le passé.
La réaction des fans
Comme on pouvait s’y attendre, la décision d’Emily Ratajkowski a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Si certains fans ont salué son audace et son originalité, d’autres se sont montrés plus sceptiques face à cette nouvelle tendance.
Quoi qu’il en soit, Emily Ratajkowski a une fois de plus prouvé qu’elle n’avait pas peur de briser les codes. Reste à voir si cette initiative fera des émules et si les « bagues de divorce » deviendront une nouvelle tendance dans le monde du divorce.
Source : The New Paper
