Le Tokyo Police Club a annoncé sa séparation cette année, annonçant les détails d’un dernier concert d’adieu dans sa ville natale.
Le quatuor – David Monks, Graham Wright, Josh Hook et Greg Alsop – s’est formé à Toronto en 2005 et a sorti son premier EP « A Lesson In Crime » l’année suivante.
Les albums complets « Elephant Shell » (2008), « Champ » (2010), « Forcefield » (2014) et « TPC » (2018) ont suivi.
« Il est temps pour nous de nous dire au revoir ! » le groupe a dit aux fans. « Ce groupe compte tellement pour nous depuis tant d’années, mais toutes les choses magiques doivent prendre fin. Le Tokyo Police Club représentera toujours le lien que nous partageons depuis que nous sommes adolescents, et il a apporté tant de personnes et de moments incroyables dans nos vies.
Le groupe a poursuivi en disant qu’ils « avaient encore quelques choses en réserve avant de partir » et en ajoutant: « Merci du fond de notre cœur collectif pour votre soutien et votre inspiration incroyables au fil des ans – vous ferez toujours partie de la famille TPC. Rendez-vous dans les pages amusantes !
Ils donneront un dernier concert en direct au History salle de Toronto le 29 novembre. Achetez vos billets ici à partir du vendredi 26 janvier.
il est temps pour PTC de dire adieu. à tout il y a une saison, et pour nous le moment est venu de garer enfin le van (c’est une métaphore, notre van actuel ne fonctionne plus depuis longtemps). UN DERNIER SPECTACLE à HISTORY à TORONTO le 29 NOV!!! pic.twitter.com/ndiRuqemkt
– Club de police de Tokyo (@TokyoPoliceClub) 23 janvier 2024
Dans une critique de l’album ‘Forcefield’ de 2014, NME a déclaré : « Après que le battage médiatique initial les ait qualifiés de « Canadian Strokes », il est admirable que le Tokyo Police Club de l’Ontario ait survécu assez longtemps pour sortir son quatrième album.
« Le problème, c’est qu’ils ressemblent encore trop aux Canadian Strokes, même s’ils sont loin d’être aussi bons que ce surnom le suggère. Ils sont toujours sympathiques, avec le chanteur/bassiste joyeux David Monks qui a l’air de chanter avec un sourire de la taille d’une tranche de melon (on ne pourrait guère dire quelque chose de Julian Casablancas).
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