Plongez-vous dans l’univers de la politique américaine avec notre dernier article ! Découvrez comment le Président Biden réagit face aux critiques suite à son dernier débat avec Donald Trump. Ne manquez pas cette analyse détaillée des derniers événements !
Le Président Biden ne fléchit pas
Malgré les critiques acerbes suite à son dernier débat, le Président Biden ne semble pas du tout affecté. Les appels à sa démission ne le font pas transpirer et il ne montre aucun signe d’abandon de sa candidature à la réélection. Au contraire, il semble plus déterminé que jamais.
Un changement de ton marqué
Actuellement en campagne à Raleigh, en Caroline du Nord, le POTUS (Président des États-Unis) adopte une attitude bien différente de celle qu’il a montrée lors de son face-à-face avec Donald Trump. Il rallie ses supporters avec plus d’énergie et de détermination.
L’admission de ses faiblesses
Biden admet ouvertement qu’il ne débat, ne marche ou ne parle plus aussi bien qu’avant. Cependant, il assure savoir comment s’y prendre pour gouverner en tant que président. Il est conscient de ses faiblesses, mais cela ne l’empêche pas de continuer à se battre.
Une attaque sur les valeurs de Trump
Le Président Biden n’hésite pas à attaquer les valeurs morales de Trump. Il le traite de « chat de ruelle », comme il l’avait fait lors du débat. Il affirme également être capable de distinguer le bien du mal et de dire la vérité, une allusion à ce qu’il considère comme un record établi par Trump : le plus grand nombre de mensonges proférés lors d’un seul débat.
Un clin d’œil à l’histoire
Biden a même tenté une petite pique lors de son discours de campagne. Il a rappelé que Trump et Herbert Hoover sont les seuls présidents à avoir quitté leur poste avec moins d’emplois qu’à leur arrivée. Il s’est amusé à surnommer Trump « Donald Herbert Hoover Trump ».
La persévérance de Biden
Quoi qu’il en soit, l’important à retenir est que Biden semble déterminé à rester dans la course malgré une performance décevante lors du débat. Même si certains membres de son propre parti pensent qu’il devrait passer la main, il n’en démord pas.
